• De nos jours, la télé FAIT le monde, elle ne le relaye pas jusqu'à nos yeux ou nos oreilles. Il est très clair que nos écrans sont très massivement les vecteurs d'une seule idéologie dont je n'évoquerai qu'une seule facette : la moraline. À quelques exceptions près, les présentateurs sont devenus des prêtes "cathodiques". Ils dispensent la bonne parole non-genrée, multi-culturalisto-capitaliste (sauvage) à longueur de journée. Ce monde devient irrespirable. Les interdictions grandissent à une vitesse exponentielle au bénéfice d'une seule vision du monde. Pour celles et ceux qui, tout comme moi, ont connu les années 80, la direction que prend le monde est inquiétante. Ne pas être d'accord devient une raison suffisante pour être illico soupçonné de fascisme, complotisme, antisémitisme, islamophobie, sexisme, homophobie, racialisme etc. Bientôt les débats contradictoires n'auront plus lieu QUE dans nos salles à manger (et encore). Méouvaton !
    Peut être une image de texte qui dit ’RAS LE BOL’

     

     
     
     
     

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  • Non mais dites-moi que ce n'est pas vrai ! Mais dans quel pays vit-on ?
    La première entreprise privée qui propose une publicité guillerette ou sensuelle quelque vendredi que ce soit, je crierai à la provocation contre les Chrétiens qui, tout au long de l'année célèbrent ce jour-là, et tristement, l'agonie du Christ sur la croix. Mais je crains malheureusement que personne ne me présente ses excuses pour ce blasphème-là. Au-delà du manque à gagner que provoquerait le boycott de presque 6 millions d'adeptes, depuis longtemps les musulmans font peur, les chrétiens pas. Les premiers sont soutenus par une idéologie aux manettes des médias, les seconds font rire (surtout sur France-Inter).
    NON MAIS OU VA-T-ON A S'INTERDIRE UNE PUBLICITE PAR RESPECT D'UNE RELIGION DANS UN PAYS LAÏQUE ? LISEZ PLUTÔT.
    "FIGAROVOX/TRIBUNE - La marque Evian a suscité une levée de boucliers en partageant un message sur les réseaux sociaux incitant à boire de l’eau. Publié le premier jour de Ramadan, il a été jugé islamophobe. La marque s’en est excusée. Pour Mathieu Slama, cette polémique est symptomatique du renoncement face au nouvel intégrisme qui menace nos sociétés".
    Par Mathieu Slama
    Peut être une image de bouteille et étendue d’eau
     

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  • Ça y est ! Nous y sommes ! 100.000 morts. Le chiffre sensationnel est atteint. Nous sommes foutus ! Nous allons tous mourir. Heureusement, il y a les masques, la distanciation sociale, le confinement et, depuis peu, le (les) vaccin(s) qui ne nous dispense(nt) cependant pas d'observer les 3 autres précautions (on ne sait jamais). Sans ces mesures, nous en serions à une hécatombe historique, c'est certain. Merci donc à notre président et à l'aréopage de médecins experts et décideurs "antiraoultiens" dont il a su très intelligemment s'entourer, après avoir fait mine de considérer le point de vue du médecin et chercheur marseillais.
    150.000 morts du cancer chaque année ne l'a pourtant pas conduit à faire interdire entre autres choses la vente de cigarettes, ni les centaines de produits chimiques sensés conserver notre nourriture, le plus souvent outrancièrement "pesticidée" quand elle provient de pays où les normes ne sont pas les mêmes que chez nous et qui, en outre, concurrencent injustement notre agriculture nationale.
    Nous n'avons pas fini d'entendre les chiffres douteux des victimes de la Covid 19-20-21 etc.
    100.000 morts

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  • Tentons d’analyser d’un peu plus près la notion de « blasphème » en n’en retenant que la signification religieuse dont on sait qu’elle ne s’est imposée que tardivement.

    Convenant qu’elle ne peut être évoquée que par un croyant, de quelque confession qu’il soit.

    Or, dans un pays comme la France, Dieu, en tant qu’il est une entité rationnellement improuvable fut théoriquement relégué, hors des domaines politique et juridique, dans la sphère privée depuis le XVIIIe siècle ; l’indépassable argument d’autorité : « Dieu a dit… » n’a plus lieu d’être dans le débat public. Il n’est bien sûr pas interdit de « croire », mais en tant que telle, la foi en Dieu de quiconque n’est pas plus respectable que la conviction de certains concernant la présence supposée d’extraterrestres sur notre planète.

    Ajoutons par ailleurs qu’il est tout à fait compréhensible que de nombreuses personnes n’éprouvent que répulsion vis-à-vis d’institutions qui semblent responsables de millions de morts depuis l’aube de l’humanité et que, partant, certaines expriment humoristiquement leur dégoût face aux ignobles violences provoquées par ce qu’ils ne considèrent que comme de très discutables idéologies.

    Nul doute que, si les musulmans en avaient le droit dans les pays où l’Islam est religion d’État (entendez par là qu’elle y est obligatoire), ils ne se gêneraient probablement pas pour se moquer de toutes les religions comme nous le faisons.

    Il est banal de dire que de tout temps des conflits ont eu lieu au nom de Dieu… Et encore aujourd’hui.

    Personnellement, je suis pour une totale liberté d’expression et invite chacune et chacun à participer à l’édification d’une sotériologie par l’humour, c’est-à-dire la capacité à mettre à distance ce qui est sacré à nos yeux et ne l’est pas forcément aux yeux du voisin.

    Comme beaucoup d’autres, j’avoue être blessé à longueur de journée par le peu d’intérêt par exemple que le plus grand nombre a pour la poésie et la musique dite savante ; par les discours irrespectueux que cette indifférence produit. À chacun son sacré ! La mère, le père, la sœur, la famille etc., sont tout autant de motifs pouvant au cas échéant justifier un passage à l’acte meurtrier.

    Dans un État de droit comme le nôtre, et sans doute l’est-il à ce jour exagérément, même si l’on peut légitimement espérer être respecté jusque dans nos convictions les plus intimes et les moins… « Enseignables », même si l’on peut être choqué par certains propos, ce n’est à mon sens pas à l’esprit religieux d’imposer sa loi, mais bien à l’esprit laïc de rappeler que seule les « Lumières de la Raison la plus libre, la moins asservie » sont autorisées à dire ce qui est punissable et ce qui ne l’est pas.

    ©Thierry Aymès


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